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“Je n’attends plus les week-ends, les vacances… c’est tellement plaisant !!”
Son site Internet : https://www.metachoix.com/home
“Ce programme a bouleversé ma vie… et aujourd’hui, c’est mon tour : je viens de créer le jardin de Katora.“
Sa page Facebook : Katy Katora
“La formation coach CAP, ça a donné à mon parcours le sens qui lui manquait !”
Son compte Instagram : https://www.instagram.com/magalisophro_vivancem/
““Il manquait à ma formation de coach professionnel une exploration intérieure plus approfondie… Avec le CAP, c’était différent !””
“Si vous êtes toujours en train d’attendre le midi, le soir, le week-end, les vacances, c’est que vous n’êtes pas à la bonne place !”
Sa page Facebook : https://www.facebook.com/RatersaviepourlesNuls/
“J’aimerais particulièrement soutenir les mamans solo comme moi, qui traversent des transitions difficiles.”
“Ce que j’ai adoré dans la formation… les mises en pratiques ! Les résultats obtenus m’ont souvent surprise !”
“L’approche spirituelle de la formation m’a immédiatement parlée”
Son compte Instagram : La Lumière d’Anna
“Mon CA a explosé, ça m’est même monté à la tête !”
Son site Internet : https://www.luxopuncture-vendee.fr/
“Je vis de mon métier, j’ai appris à m’adapter aux fluctuations saisonnières!”
Son site Internet : nymphea-corps-esprit.
“J’ai organisé mes journées pour être un maximum avec mes enfants”
Son compte Instagram : Delphine Mesquida.
CAP Coaching School
par Mylène Muller
30 131 Pujaut, France
@2024, Tous droits réservés
J’étais en poste en tant qu’éducatrice spécialisée.
Mais je ressentais une perte de sens. J’ai commencé à faire un bilan de compétences, mais il me manquait quelque chose.
C’est alors que je suis tombée sur une vidéo YouTube de Mylène début 2024, où elle parlait du métier de coach intuitive et spirituelle.
Ça m’a énormément parlé.
Je faisais de la poésie intuitive, j’avais suivi des formations : une sur l’ennéagramme, une sur l’analyse transactionnelle, mais ça restait des outils, et là, j’ai senti quelque chose de plus grand, de plus complet.
Un peu… j’ai dû m’organiser sur le plan financier, avec des questions bien naturelles : est-ce que ça va valoir le coup ?
Est-ce que je ne suis pas trop âgée pour me lancer dans ce nouveau projet ?
Jusqu’ici j’avais toujours accompagné les gens en fonction de ce qu’ils étaient, eux.
Aujourd’hui, j’accompagne les gens à travers ce que je suis, moi.
Ça, c’est un énorme changement.
Et c’est grâce à la formation, très sincèrement.
Maintenant, je pars de qui je suis, avec tout ce qui va avec, tout ce que j’aime, mais aussi les côtés sur lesquels j’ai encore à travailler, les choses que je dois encore lâcher…
En fin de compte, c’est comme si toutes les petites parts de moi s’étaient regroupées et assemblées en un puzzle.
Et l’image que je vois aujourd’hui, humblement, c’est une image qui est magnifique.
Avec beaucoup de couleurs, beaucoup d’amour, beaucoup de lumière.
Voilà qui je suis.
Je viens de quitter mon boulot. Je devrais paniquer, mais pas du tout, car je sais que je suis à ma place.
Je ne me sens pas seule, entre le groupe de la promo 2025, mais aussi toi Mylène… je suis rassurée. Il y aura toujours un recours.
Maintenant, je pars sur des projets que je pensais petits, mais qui sont en train de prendre des proportions beaucoup plus grandes parce que je m’autorise à être, et je me sens légitime.
Ça m’ouvre des portes que, sincèrement, je n’aurais jamais, jamais imaginées six mois en arrière.
Je vais proposer une partie d’accompagnement en présentiel, mais également une partie en visio.
Je suis en train de créer un site internet, et puis je vais animer des ateliers créatifs avec des petits groupes de personnes.
Je pense également aux jeunes adultes, comme mon fils, qui a traversé une période compliquée et qui s’en est sorti. J’aimerais donc aussi m’adresser à ce public-là, et me servir de la créativité — soit de la poésie, soit de l’écriture, soit du chant aussi.
Pour communiquer, je vais préparer des plaquettes, je vais aller rencontrer les partenaires ici, car j’ai beaucoup de contacts de par mon travail aussi.
Quel que soit l’âge, quel que soit le métier, quelle que soit l’étape où on en est aujourd’hui… il faut s’écouter !
Moi, j’ai 2 enfants et aucun garde-fou. Et pourtant, je l’ai fait.
Et je vous le dis : c’est un sacré voyage. Un voyage vers soi, un voyage vers l’autre… et ça va bien au-delà.
Ça nourrit même notre corps, même notre santé.
Mes maux du corps se sont atténués. J’ai une maladie auto-immune qui est en train de s’apaiser.
Je sens que je me reconnecte à mon cœur, à mon âme, et ce voyage fabuleux nous ouvre au monde.
Donc oui, n’hésitez pas à y aller.
C’est un voyage extraordinaire que ce parcours coach CAP.
Mais j’insiste : c’est un voyage très concret.
Ce n’est pas simplement un discours, c’est quelque chose qui se met en place, qui se concrétise dans le réel.
Céline a fait partie de notre promotion coach CAP 2025.
Qui es-tu en quelques mots ?
Je m’appelle Julie, j’ai 32 ans. Avant de devenir coach, j’étais manager en grande distribution et chef de projet chez Auchan.
Qu’est-ce qui t’a poussée à envisager une reconversion ?
Comme beaucoup de personnes, j’ai connu une surcharge de travail, des collègues non remplacés, de la fatigue accumulée… et au bout d’un moment, mon corps a lâché.
J’ai traversé un burn-out. Après ça, je suis partie voyager, et c’est en rentrant que j’ai eu comme une évidence : je ne pouvais pas revenir à cette vie-là.
J’avais déjà été accompagnée par une coach en développement personnel vers mes 22 ans, à une époque où je faisais beaucoup de crises d’angoisse.
Je m’étais alors dit : « Un jour, je serai comme elle. » En rentrant de ce voyage, j’ai su que le moment était venu.
Pourquoi avoir choisi cette formation de coach ?
J’ai contacté plusieurs écoles, fait différentes visios, comparé les approches.
Au début, j’étais tentée par un diplôme reconnu, car ça me rassurait.
Mais en réalité, ce que je ressentais, c’est que beaucoup de formations restaient superficielles, trop centrées sur les outils.
Or moi, je cherchais de la profondeur, une vraie connexion à l’essence de la personne. Quand j’ai découvert l’accompagnement proposé par CAP, je me suis dit : « C’est exactement ça. »
Placer l’être au centre, aller dans une écoute profonde… ça a été une évidence.
Pour toi, le point fort de la formation, c’est quoi ?
La phase d’auto-coaching, avec Expérience.
Rien qu’en appliquant ce programme, j’ai vu des changements profonds en moi.
C’est puissant de commencer par ce chemin intérieur avant d’accompagner les autres.
Ton projet à la sortie de l’école, il y a deux ans, c’était quoi ?
Pour moi, c’était clair : je ne voulais pas me lancer seule.
J’ai choisi d’intégrer une coopérative d’entrepreneurs et de rejoindre une académie pour être accompagnée dans mon développement.
J’ai donc pu démarrer mon activité à la fois en pratiquant le coaching et en étant soutenue comme entrepreneure.
Aujourd’hui, que fais-tu exactement ?
Aujourd’hui, je me concentre sur l’accompagnement en gestion émotionnelle.
Je me suis formée au fonctionnement du système nerveux autonome pour aider les personnes, en particulier les femmes d’une trentaine d’années, souvent en pleine remise en question.
Je propose des accompagnements individuels, mais aussi du collectif.
J’interviens dans une formation d’éducateurs canins pour leur transmettre la posture d’écoute et d’alignement, et j’anime également des ateliers auprès d’enfants sur la gestion émotionnelle. C’est un public incroyable, très réceptif, qui apprend vite et qui m’émerveille à chaque fois.
Enfin, j’ai aussi une casquette de consultante en bilan de compétences, qui me permet d’accompagner sur le volet professionnel avec une approche nourrie de toute ma sensibilité.
Parlons argent : est-ce que tu gagnes bien ta vie aujourd’hui en tant que coach multi-casquettes ?
Comme tout entrepreneur, il y a des hauts et des bas.
Mais aujourd’hui, deux ans après, je peux dire que je vis de mon activité. Je couvre mes charges et je me verse un vrai salaire.
Et je sais que ma limite dépend seulement de l’énergie et de l’engagement que je mets dans mon activité.
Les perspectives sont très belles, et je sens que ce n’est que le début.
Une journée dans ta vie de coach, ça ressemble à quoi ?
Je commence par mes rituels : écriture, gratitude, respiration, pratiques corporelles.
Ensuite, j’organise mes séances de coaching en visio, généralement deux ou trois par jour, pour garder une vraie qualité de présence.
Entre-temps, j’ai la liberté de me promener en nature, de m’accorder du temps.
C’est un plaisir immense de ne plus subir ses journées, d’être maître de mon emploi du temps, alors que mes proches attendent le week-end ou les vacances avec impatience.
Moi, je me sens libre chaque jour.
Ton message pour celles qui hésitent ?
Je leur dirais de se poser une question essentielle : « Est-ce que ma vie actuelle est alignée avec celle que je suis profondément, à l’intérieur ? »
Si c’est aligné, continuez. Mais si ça ne l’est pas, écoutez cet élan intérieur et osez.
Parce que ce chemin est vraiment magnifique.
Julie a fait partie de notre promo coach 2023.
J’ai travaillé pendant 7 ans comme assistante sociale, dans différentes structures.
J’ai notamment accompagné des demandeurs d’asile dans deux foyers d’hébergement pour femmes avec enfants.
Mais sur mon dernier poste, je me suis sentie un peu limitée dans l’accompagnement que je proposais.
J’avais envie d’aller plus loin, de me tourner davantage vers le bien-être… ou même vers quelque chose de plus spirituel dans ma manière d’accompagner les autres.
ET puis…
On a déménagé en Aveyron avec mon compagnon, et en le suivant, j’ai quitté mon travail.
Du coup, je me suis retrouvée au chômage… Et puis, peu de temps après, je suis tombée enceinte.
Tout s’est enchaîné, comme un fil conducteur. C’était le bon moment, le bon timing.
Qu’est-ce qui t’a marquée dans la formation CAP ?
Mon site s’appelle “La lumière d’Anna”. Ce nom vient directement de ce que j’ai identifié comme ma contribution : aider chacun à se reconnecter à sa lumière intérieure.
Je vais proposer principalement des séances individuelles à distance, en visio, puisque je n’ai pas encore de cabinet.
Mais j’aime cette idée de mobilité, de flexibilité. Ça me permet d’accompagner des personnes partout sur le territoire.
À côté de ça, je proposerai aussi des guidances sous forme de tirages, pour apporter un éclairage complémentaire.
Je pense qu’il faut vraiment s’écouter, et écouter son intuition.
Si vous sentez un appel, une envie profonde de faire cette formation… c’est que c’est le bon moment.
C’est un beau signe.
Faites-vous confiance.
Anne a fait partie de notre promotion coach CAP 2025.
Coach CAP, créatrice du jardin de Katora.
“Si on hésite, c’est qu’il faut vraiment y aller !”
Qui es-tu en quelques mots ?
Je m’appelle Katy, j’ai 53 ans.
Je suis secrétaire, et après un petit malaise dans ma vie professionnelle, j’ai découvert Mylène sur les réseaux.
Il y a eu comme une évidence, une connexion qui devait se faire.
J’ai écouté la conférence « Expérience » et ça a immédiatement résonné en moi.
À la fin, je me suis inscrite, et c’est là qu’a commencé une belle aventure… Une véritable expérience de vie.
Que retiens-tu de ton chemin à nos côtés ?
C’était en 2021, et je m’en souviens comme si c’était hier, tant cela a bouleversé ma vie.
Je dirais que ça a été une expérience humaine et intérieure incroyable, qui m’a sortie du pilotage automatique.
Peu à peu, tout s’est mis en place : la pleine conscience, une meilleure fluidité dans mon quotidien, et une autre manière d’aborder mon travail et mes engagements associatifs.
Qu’est-ce qui t’a poussée à envisager une reconversion dans le coaching CAP ?
J’étais déjà investie dans une association de défense des droits des femmes. C’est un sujet qui me tient à cœur : aider les femmes à retrouver leur pouvoir et à s’épanouir.
Quand j’ai découvert le coaching proposé dans la formation, je me suis dit : « C’est ça ! ».
Un accompagnement doux et puissant, que je pouvais à mon tour transmettre pour accompagner d’autres femmes.
Comment tu décrirais la formation de coach CAP ?
C’est vraiment une belle aventure.
On apprend beaucoup sur soi, on se découvre des forces insoupçonnées, et on avance avec des personnes merveilleuses.
Il y a eu des moments de partage très forts, beaucoup d’authenticité et d’humanité.
Pour moi, ça a été une ressource précieuse, qui m’a permis de me reconnecter à ce que j’avais appris et vécu, et de le faire vivre autrement.
Aujourd’hui, que fais-tu exactement ?
J’ai créé « Le Jardin de Katora », un univers qui me ressemble profondément.
C’est à la fois un espace intime et symbolique, qui relie le développement personnel et la nature.
Je mets en place des ateliers en ligne, mais aussi des cercles de femmes et des moments de partage autour de l’éveil et du mieux-être.
Pour moi, c’est comme cultiver un jardin intérieur : avec ses racines, ses saisons, ses ombres et ses lumières.
C’est un espace sacré où l’on apprend à se reconnecter à soi.
Ton message pour celles qui hésitent ?
Je dirais simplement : il faut y aller.
C’est une aventure magnifique, une connexion à soi et aux autres qui change profondément la vie.
Katy a fait partie de notre promotion coach CAP 2023.
Qui es-tu en quelques mots ?
Je suis Nathalie, j’ai 40 ans, maman de deux enfants, et enseignante depuis 15 ans.
Qu’est-ce qui t’a amenée à découvrir le coaching de l’alignement au projet ?
Je suis tombée complètement par hasard sur le programme Expérience, à un moment où j’étais vraiment déconnectée de ma vie.
Je ne donnais plus de sens à ce que je vivais.
La présentation de Mylène m’a tout de suite donné un élan, je n’ai pas hésité : je me suis inscrite.
Qu’est-ce que le programme Expérience t’a apporté ?
J’ai trouvé énormément de clés, eu plein de prises de conscience.
Cela m’a permis d’évoluer, de voir les choses différemment, mais aussi de vivre dans l’instant présent, ce que je ne faisais pas du tout.
J’étais complètement déséquilibrée, toujours à vouloir faire plaisir aux autres, à m’oublier.
Aujourd’hui, j’ai retrouvé un équilibre qui change tout.
Qu’est-ce qui t’a fait hésiter ?
Le prix.
Maman solo, j’ai forcément réfléchi. Mais j’avais cet élan du cœur, qui me disait d’y aller.
Alors ma réflexion n’a pas été très longue.
Qu’est-ce que tu as appris de plus précieux ?
Prendre du temps pour moi.
M’offrir des moments rien qu’à moi, et m’y tenir.
C’est une clé qui me fait énormément de bien !!!
Tu es maman solo : comment as-tu réussi à t’organiser entre Expérience, ton travail, tes enfants et la formation de coach ?
Quand on est passionnée et qu’on a cet élan, on trouve le temps et l’énergie.
J’ai su dégager de l’espace pour suivre le programme, parce que j’avais vraiment envie de le faire.
À quel moment tu t’es dit : je vais devenir coach ?
Cela faisait sens avec mon métier d’enseignante.
Je voyais une continuité : contribuer à aider les autres, les accompagner dans leur cheminement, leur donner confiance.
Et je me suis dit : il ne faut pas trop se poser de questions, il faut suivre l’élan du cœur.
Qu’as-tu préféré dans la formation de coach CAP ?
La qualité de la formation, sa structure, mais surtout la pratique.
Les mises en situation, les supervisions, les prises de conscience… C’est ça qui a été le plus précieux pour moi, et qui a tout accéléré.
Tu viens d’être certifiée : quel est ton projet maintenant ?
Je souhaite accompagner en individuel et en groupe, parce que je crois profondément à la puissance du collectif.
J’aimerais particulièrement soutenir les mamans solo comme moi, qui traversent des transitions et ont besoin de retrouver confiance en elles et du sens dans leur vie.
Ton message pour celles qui hésitent ?
Écoutez votre cœur.
S’il y a un élan à l’intérieur de vous, suivez-le.
Parce qu’il ne peut vous apporter que du positif !
Nathalie a fait partie de notre promo coach CAP 2025.
J’ai travaillé avec le programme Expérience sur ma contribution, et le chemin s’est fait naturellement. Je sentais que je devais aller dans l’accompagnement.
Je n’étais pas sûre de me reconvertir au départ, en fait je ne suis pas vraiment passée par cette étape de réflexion en reconversion.
J’ai appris à me connaître, j’ai identifié que l’accompagnement était fait pour moi, alors j’ai suivi la suite du programme Expérience, le parcours coach CAP.
C’était très enrichissant.
Je me suis sentie pleinement à ma place.
Ce qui a été difficile pour moi, c’est quand ça s’est arrêté.
Mon manque de confiance est alors entré en scène !
J’ai beaucoup communiqué sur les réseaux (notamment LinkedIn).
J’ai commencé par accompagner les parents d’enfants TDAH, une thématique qui me tenait beaucoup à cœur.
Mais c’était difficile pour moi, difficile de me faire une place dans ce milieu, les institutions notamment sont encore assez fermées au coaching.
La première année, j’ai fait quasiment 0€ de chiffre d’affaires.
Il y a eu beaucoup de peur, de doutes et de questions.
Mais je savais que j’étais à ma place.
Alors j’ai commencé à chercher autre chose (je me suis d’ailleurs beaucoup appuyée sur le guide professionnel que tu proposes à la fin du parcours coach pour me réorienter dans ma proposition).
Par hasard, je me suis retrouvée au bout de quelques mois à faire un échange de pratique avec une collègue qui faisait de la luxopuncture.
Et là, j’ai découvert une discipline qui m’a beaucoup inspirée, alors j’ai racheté son matériel et je me suis formée à différents protocoles d’accompagnement avec la luxopuncture.
Aujourd’hui, les gens prennent rendez-vous avec moi en ligne en général pour la luxopuncture en premier lieu.
Et moi je leur propose une prestation qui inclut beaucoup de coaching.
Que ce soit la perte de poids, l’arrêt du tabac, la gestion du stress, tout le monde a besoin d’être accompagné en mode coaching !
Donc j’ai créé mon propre protocole qui commence avec la luxopuncture mais intègre pleinement la dimension écoute de soi et connaissance de soi…. en fait, je coache en permanence !
C’est même plus que ça.
Au bout de quelques mois dans ma nouvelle activité, mon chiffre d’affaires a explosé.
Ça m’est un peu monté à la tête, et j’ai commencé à ressentir à nouveau du surmenage.
Donc j’ai décidé de ralentir le rythme.
Aujourd’hui, j’accompagne les gens en individuel entre 9h et 20h, à raison de 4 à 5 séances par jour.
Mais je bloque en priorité sur mon calendrier des rendez-vous avec mes enfants et avec moi-même.
Je continue à communiquer, cela m’aide aussi à continuer à incarner l’accompagnante que je suis et à me remettre en question.
Je viens aussi de rajouter une casquette d’hypnothérapie à ma palette d’outils, car je m’aperçois que pour certaines personnes il est nécessaire de les aider à un niveau plus guidé encore à reprendre contact avec eux.
OUIIII !!!
J’ai envie déjà de donner ton livre à tout le monde pour les inviter à faire ce travail sur soi et à trouver cet alignement (pour info, mon livre s’appelle CAP de créer la vie qui te ressemble ? 52 défis pour réenchanter ta vie!)
Pour moi, le point de départ c’est ça, et ensuite on peut rayonner et trouver sa place unique dans l’accompagnement.
Mon mot de la fin ? Merci à toi, je te le redis, car sans toi je ne serais pas la personne que je suis aujourd’hui. 💕💕💕
Audrey a fait partie de notre promotion coach CAP 2023.
Qui es-tu en quelques mots ?
Je m’appelle Magali.
J’étais cadre dans la fonction publique territoriale, avec plus de 20 ans d’expérience. Je travaillais dans le milieu de la culture.
Mais avec la pression et la surcharge, et le covid qui n’a pas aidé, je me suis retrouvée en burn-out.
J’étais un peu perdue, et c’est à ce moment-là que j’ai rencontré Mylène sur les réseaux.
J’avais déjà suivi une petite formation en PNL et une autre en coaching, mais là j’ai décider de me lancer dans la formation Expérience.
Pourquoi avoir suivi la formation de coach CAP ?
J’avais déjà touché à la PNL, mais la formation que j’avais suivie à l’époque était très condensée, intrusive et bousculante.
En plein burn-out, je ne me sentais pas prête ni légitime à accompagner.
Expérience m’a permis de me redresser, de sortir de la posture de victime et de retrouver ma capacité à agir.
Quand le parcours CAP s’est présenté, j’ai senti que c’était la suite logique. Avec CAP, tout avait plus de sens. Il y avait une approche plus humaine, plus vivante, qui résonnait vraiment avec moi.
D’ailleurs, je garde toujours avec moi ma boussole de coach : écouter, choisir l’amour, agir, accueillir la peur (NB : un outil qu’on dessine ensemble pendant le parcours coach!)
Que fais-tu exactement aujourd’hui ?
Aujourd’hui, j’accompagne principalement des femmes, mais aussi des enfants.
Je me suis spécialisée en relaxation et en accompagnement ludique pour enfants, et aussi les profils TDAH et hypersensibles, ce qui correspond aussi à mon profil et à celui de mes enfants.
En ce moment, j’accompagne beaucoup d’adolescentes entre 11 et 17 ans qui vivent des angoisses, pour les aider à se reconnecter à leur cœur, à leur corps, à retrouver leur centre et du sens à leur vie.
Comment as-tu géré la transition financièrement ?
En parallèle de mon développement d’activité, je me suis mise en disponibilité de la fonction publique et j’ai demandé un contrat de 16h par semaine dans une mairie.
Ça me permet de garder un équilibre, de rester dans le lien avec les gens et de faire connaître mon activité.
Le poste de secrétaire en mairie m’apporte une stabilité tout en me laissant du temps pour développer mon activité de coach.
Quel message pour celles qui hésitent ?
Je dirais qu’il faut écouter son cœur.
Laisser de côté les croyances qui nous disent qu’on n’est pas capable.
Parce que quand on écoute son cœur, on ouvre le champ des possibles. Rien n’est jamais parfait, le bon moment n’existe pas vraiment.
L’essentiel, c’est d’y aller, de faire le premier pas.
Magali a fait partie de notre promotion coach CAP 2023.
Je suis Magali, j’ai 51 ans et je suis fière aujourd’hui de dire que je suis devenue celle que j’ai choisi d’être.
Je travaille toujours dans le service public, comme chargée de mission dans la fonction publique territoriale. J’aime ce que je fais, malgré quelques déceptions. Le service public reste quelque chose qui me tient à cœur.
Mais j’avais aussi besoin de m’enrichir intellectuellement, de nourrir mon développement personnel et professionnel. J’ai réalisé que ce qui me convenait vraiment, c’était cet équilibre entre différentes activités.
Dans ma première formation de coaching professionnel, j’ai trouvé le travail d’exploration intérieure assez superficiel.
Avec le CAP, c’était différent : le programme m’a permis de travailler à la fois sur ma posture, mes outils, et surtout sur une vraie transformation intérieure.
C’est ce qui a fait toute la différence. Pour moi, c’était une évidence : le CAP venait unir le professionnel et le personnel, et j’ai trouvé là une vraie unicité.
Pourquoi as-tu décidé de devenir coach ?
J’ai voulu m’enrichir en m’orientant vers le métier de coach, tout en gardant mon activité actuelle. Je veux pouvoir exercer les deux.
Quel a été pour toi le point fort de la formation CAP ?
Le fait de travailler la posture et les outils du coach, qui amènent à une connexion profonde.
J’ai trouvé ça très fort.
Et puis le rythme : j’ai aimé apprendre à mon rythme, mais aussi vivre des regroupements où l’on pouvait pratiquer concrètement. Même en visio, j’ai trouvé que ça n’enlevait rien à la qualité de la connexion humaine.
Quel est ton projet aujourd’hui, après ta certification ?
Je vais créer ma micro-entreprise pour proposer des accompagnements.
Je veux offrir un espace de ressourcement à des personnes qui ont le sentiment de ne pas savoir où aller, ou de ne pas être à leur place.
Je prévois des accompagnements à distance, avec un format classique de coaching : partir d’une situation et avancer avec la personne.
Je réfléchis aussi à créer un petit programme, avec des outils et des exercices à faire chez soi, pour permettre un vrai travail personnel entre les séances.
Quel serait ton message pour celle qui hésite à se lancer ?
Écoute vraiment ce que dit ton cœur.
Le cœur a beaucoup de choses à dire : c’est un guide précieux.
Ces métiers d’accompagnement permettent de replacer l’humain au centre de son action, et ça a un vrai sens pour soi… et pour les autres.
C’est une belle contribution, et je souhaite à beaucoup de femmes de pouvoir se l’offrir.
Magali a fait partie de notre promotion coach CAP 2025.
Qui étais-tu avant de te lancer dans cette reconversion ?
J’étais une Christel perdue, épuisée de ne pas vivre la vie qui lui ressemble, avec l’impression d’être spectatrice et de passer à côté de ma vie.
Je suis enseignante, j’ai eu une vie amoureuse un peu tumultueuse, je me suis séparée du père de mon fils quand il n’avait que 6 mois… Et à l’âge de 40 ans, j’ai eu un cancer.
Comment as-tu découvert le CAP ?
À ce moment-là, en allant sur Internet, je suis tombée sur ta conférence “8 clés pour créer la vie qui vous ressemble”.
Et dans cette conférence, j’avais l’impression que tu parlais de moi. J’aurais pu écrire exactement la même chose.
Alors je me suis lancée dans le programme Expérience.
Et ça a changé beaucoup de choses, ça m’a permis de retrouver ma voix, et de transformer ce qu’on avait toujours critiqué en moi en force.
Ça m’a enlevé un poids…
« Ce que je pensais être des faiblesses, tout est ressorti comme étant des forces. »
Et qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir coach à ton tour ?
Dans le programme Expérience, on travaille sur sa contribution. Et là j’ai compris que j’avais profondément envie d’aider les femmes à reprendre leur place, à réparer leurs blessures, tout comme moi, j’ai dû le faire.
Je veux vraiment leur montrer que ce n’est pas une fatalité d’être malheureuse, ni d’être maltraitée.
Alors je me suis lancée !!
Est-ce qu’il y a quelque chose qui t’a fait hésiter à te lancer dans le parcours coach CAP ?
Il y a le prix. C’est un investissement, mais le programme Expérience a tellement changé ma vie… je pense que j’ai gagné plusieurs années de thérapie grâce à ce programme… que je voulais vraiment rester dans cette approche.
Quel est pour toi le grand point fort de la formation de coach de la CAP coaching School ?
Les pratiques !
On s’entraîne énormément pendant la formation avec les coachs de la promo. Quand on sort, on sait qu’on sait faire.
Les vidéos démo ça aide énormément aussi.
Qu’est-ce qui se dessine pour toi pour l’avenir ?
Cette formation m’a permis d’identifier que ce qui m’appelle, c’est de créer un programme d’auto-coaching en ligne, davantage formation que coaching, et davantage collectif qu’individuel, à destination de femmes qui ont été blessées, qui ont besoin de se souvenir à quel point elles sont fortes, merveilleuses, et qu’elles ne sont pas seules.
Depuis toujours, je suis enseignante : j’ai commencé par accompagner des jeunes en gym, puis je suis devenue prof de lettres. J’aime voir les autres grandir et évoluer.
Je vais maintenant mettre cela au service d’une cause qui m’est chère : transformer nos blessures en force.
Comment tu vas t’y prendre en termes de plan d’action pour réussir dans ta nouvelle activité ?
A la rentrée, je vais faire une demande d’activité accessoires auprès de l’administration.
Dès maintenant, je vais proposer du contenu via mon blog « rater sa vie pour les nuls », et sur mon compte Instagram.
Parallèlement, je recherche des clientes à accompagner gratuitement en échange d’avis clients et d’une recommandation, avant de pouvoir officiellement lancer mon activité début 2026.
Quel message voudrais-tu transmettre à celle qui hésite ?
Si vous êtes toujours en train d’attendre le midi, le soir, le week-end, les vacances, c’est que vous n’êtes pas à la bonne place.
Alors arrêtez d’attendre le bon moment : le bon moment, c’est quand vous osez vous lancer !!
Christel a fait partie de notre promotion coach CAP 2025.
Qu’est-ce qui t’a amenée au parcours de coach CAP ?
Avant de rejoindre cette formation, j’ai rencontré des événements de vie difficiles.
Puis, un burn-out… Et encore des deuils à surmonter…
Je me trouvais donc à un moment important de mon existence où des changements, des transformations étaient nécessaires.
Et surtout, essayer de trouver du sens à la vie.
Qu’est-ce qui a fait déclic en toi à ce moment-là ?
Je me suis mise à la recherche de ce qui pouvait relancer une dynamique en moi ; me correspondre, me faire du bien, et être en accord avec mes valeurs, mes besoins.
Lorsque j’ai écouté le parcours de Mylène et ses propositions, j’ai trouvé des résonances avec mon histoire.
Un nouveau “possible” qui me donnait de l’espoir par rapport à ma situation.
Pourquoi avoir choisi le CAP ?
Me sentant non alignée, la méthode proposée m’intéressait : enfin, pouvoir aligner le Corps, l’Âme, l’Esprit.
Et pouvoir accompagner des personnes en ayant vécu ce parcours.
Avais-tu des freins ou des doutes au départ ?
Oui, le manque de confiance en moi, le côté “reprendre des études” : allais-je y arriver ?
Et puis, je me sentais une dette de loyauté vis-à-vis de mon métier en cours.
Enfin, le financement de cette formation me semblait inaccessible…
Qu’est-ce qui t’a permis de franchir le pas ?
Le parcours Expérience que j’ai suivi dans un premier temps (notre programme d’auto-coaching), les échanges avec toute l’équipe CAP, Sarah, Angélique, Aurélie (accueils et séance de coaching), les sessions collectives avec Mylène et les différents documents sur le métier de coach m’ont permis d’oser me lancer dans cette aventure.
J’ai fait le choix de me financer cette formation.
Qu’as-tu retenu de plus marquant dans la formation ?
Le plus grand point fort de la formation a été l’étude des quatre piliers à travers le prisme du coaching.
L’utilisation des outils en lien avec “S’écouter – Choisir l’Amour – Accueillir la peur – Agir” et leurs mises en pratique avec les autres participantes de la formation m’ont étonnée par leurs contenus et les résultats obtenus.
Qu’est-ce que cela a changé pour toi ?
J’ai osé !
Oser aller voir, observer, ressentir, faire…
Je me suis sentie soutenue par l’équipe de l’école CAP (bienveillance, compréhension, encouragements) et un lien ressourçant s’est créé entre les différentes personnes du groupe de formation.
Je n’avais pas envie de laisser passer du temps avant de me mettre en mouvement.
Et aujourd’hui, comment avances-tu dans ton projet ?
Aujourd’hui, je poursuis une pratique de coaching où je m’exerce pour améliorer mes propositions, pour me connecter au mieux aux besoins des personnes accompagnées, et suivre le protocole de façon juste.
À qui souhaites-tu t’adresser en priorité ?
Je souhaite accompagner les personnes hypersensibles (par rapport aux émotions, aux sens), les femmes qui ont besoin de retrouver leurs ressources pour un changement de vie.
Par visio et en individuel.
Des perspectives d’ateliers, de cercles en présentiel sont à l’étude également :-)
Et qu’est-ce qui va faire ta singularité en tant que coach ?
Ma sensibilité, ma connexion, me donnent la possibilité d’accompagner au plus près de leurs besoins les personnes qui souhaitent aller à la rencontre de leur monde intérieur, de leur Être.
Un mot de la fin ?
Quelle aventure !
J’ai vraiment apprécié faire le parcours Expérience CAP auparavant, pour vivre cette recherche personnelle avant de la proposer à d’autres personnes.
Je suis si fière de ces étapes, de mon courage, de mon investissement.
Je ne pensais pas réussir… c’est fait ! Un nouveau vent souffle sur mon chemin.
De nouvelles perspectives se présentent…
Annaïk a fait partie de notre promotion coach CAP 2025.
J’ai fait plein de métiers différents, j’ai été secrétaire médicale, puis gérante d’une résidence de tourisme, et en parallèle, j’ai toujours accompagné les gens avec le massage bien-être qui fait partie de moi.
Je sentais bien que je n’étais pas complètement à ma place dans ces différents métiers, j’ai même fait un bilan de compétence, il y a quelques années, mais il ne m’avait rien apporté de nouveau.
J’avais envie d’accompagner les gens d’une autre façon, peut-être sur un plan plus intérieur, plus émotionnel et complémentaire au bien-être physique.
J’ai commencé par suivre le programme Expérience, parce que je voulais plus de clarté sur ma vie professionnelle… Et j’ai découvert pendant cette formation que tu animais aussi une formation de coach, pour moi ça a été une évidence, je n’ai pas hésité, car cette formation me parlait à 100 % : j’ai écouté mon cœur.
Humaine.
J’appréhendais un peu le côté formation en ligne, j’avais peur d’être seule, mais on est pas seules du tout.
Ça a été très fluide, quand ça s’est fini, j’étais déçue que ça s’arrête… Vraiment, j’ai adoré.
Oui !!!!
Aujourd’hui, j’accompagne les femmes qui sont prêtes à cheminer intérieurement pour trouver un sens à leur travail, que ce soit pour faire des ajustements ou envisager une reconversion.
Je propose 3 types d’accompagnement, 3 séances pour éclairer la personne, 3 séances pour l’aider à cheminer, 3 séances pour la mise en action.
En parallèle, je propose toujours les massages bien-être, et je pratique aussi le massage en entreprise (massage Amma) dans le cadre de la qualité de vie au travail.
J’ai d’ailleurs animé une conférence, il y a quelques jours sur cette thématique « bonheur et sens au travail : trouver la vie professionnelle qui vous ressemble. »
Aujourd’hui, je vis de ces activités, je n’ai pas d’autre travail à côté. Mais j’habite en station, donc je suis sujette aux fluctuations saisonnières : je l’accepte, et je m’organise avec ça !
Par exemple, j’ai pris aussi un cabinet en ville pour toucher un autre public, je réalise des coachings en visio, et j’ai développé la partie en entreprise pour les périodes plus creuses de l’accompagnement individuel.
Je viens juste de créer un site Internet, nymphea-corps-esprit. J’ai également beaucoup de partenariats avec des gîtes, des office du tourisme… et puis bien sûr, le bouche-à-oreille et les avis positifs sur Internet (elle a 37 avis 5 étoiles ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️).
Je me mets à ma place quand j’ai hésité moi-même… Je dirais que ce qui est important c’est de ne pas trop réfléchir, d’écouter son élan intérieur… Même si parfois on ne sait pas encore comment, c’est de se connecter très fort au pourquoi.
“Je dirais que ce qui est important c’est de ne pas trop réfléchir, d’écouter son élan intérieur… Même si parfois on ne sait pas encore comment, c’est de se connecter très fort au pourquoi.”
Note : Marjorie a fait partie de notre promotion coach CAP 2022 (20 certifiées).
Oh oui !!!! Mais je vais commencer par une anecdote !
Il y a quelques jours, j’étais à une soirée avec des amis… Et là des personnes que je ne connais pas me posent la fameuse question : et toi, tu fais quoi dans la vie ?
Ça m’a rappelé à quel point pour moi ça au début, c’était difficile, je me souviens que je disais « je suis coach en développement personnel », tout doucement, comme si j’en avais honte, comme une enfant.
Aujourd’hui j’en suis extrêmement fière : je suis Aurélie, énergéticienne, cartomancienne et coach en développement personnel.
J’étais chef de secteur en grande distribution, je suis arrivée au programme Expérience en 2019, après un burnout.
Je travaillais énormément, j’avais un enfant en bas âge, le papa n’était pas présent, j’ai essayé une thérapie, ça n’a pas marché, j’ai essayé les médicaments, ça n’a pas suffi. Alors j’ai cherché d’autres solutions.
Je ne connaissais pas du tout le développement personnel pour moi, c’était un monde un peu perché, un peu bisounours où on devait toujours tout voir en rose, et ça ne me parlait pas.
Mais le programme Expérience m’a vraiment aidée à voir les choses autrement : pendant 3 ans j’ai continué à exercer mon métier de chef de secteur, jusqu’au jour où j’ai décidé de me lancer dans l’énergétique, puisque j’ai certains dons hérités de ma grand-mère.
Au moment où j’ai créé ma petite entreprise dans l’énergétique, j’ai entendu parler de la formation de coach de Mylène, et je l’ai rejointe quelques jours avant la fermeture des portes de la promotion 2022 !
Et ben justement, je me suis retrouvée confrontée à quelque chose dont je n’avais pas encore conscience : impossible pour moi de demander de l’argent en échange de mes premiers coachings. Alors j’ai une idée, et c’est ça qui est génial avec l’entrepreneuriat, c’est qu’il n’y a pas de limite à la créativité, j’ai décidé de réaliser mes premiers coachings gratuitement en échange d’avis clients. Et ça a cartonné, tout en me donnant la légitimité qui me manquait.
Puis j’ai commencé avec un tarif de 50 € par séance, puis 60 €, aujourd’hui c’est 90 €, et je vends même un programme à 1200 €.
Je me lève tôt, vers 5h30 du matin, et tous les matins, je prends le café en regardant le lever du soleil. Un incontournable de ma journée.
Jusqu’à 9h du matin, je prends du temps pour moi, j’écris, je peins, je prépare tranquillement ma journée.
De 9h à midi, je réalise des accompagnements individuels, j’accompagne les femmes de 25 à 50 ans sur des gros changements de vie (rupture amoureuse, expatriation, reconversion professionnelle…).
Ensuite, jusqu’à 15h à peu près, je fais une pause culture, j’enrichis mes concepts, je me nourris, et surtout je veille à appliquer tout ce que j’apprends.
L’après-midi, je me dédie plutôt à l’énergétique, et entre 18h et 21h, j’ai des accompagnements individuels.
“Il n’y a plus de place pour devenir un coach qui copie l’existant et qui veut rentrer dans des cases, mais il y a de la place pour les coachs qui vont à leur rencontre, qui trouvent leur identité et leur pourquoi, et qui apportent au monde leur contribution unique.”
Quand j’ai commencé, je me suis posée la question “c’est quoi confortable pour moi” ?
Je voulais 1500€.
Et ce qui s’est passé, c’est que je les ai atteint assez rapidement (j’étais rentable en six mois), mais j’étais comme bloquée à cette limite.
Alors à un moment, je me suis demandée : si on laisse de côté cette limite, qu’est-ce que toi tu mérites ? Et là, il n’y avait plus de limite.
Aujourd’hui j’ai un chiffre d’affaires qui varie entre 5000 et 7000 € par mois.
Je me souviens que j’ai eu une très bonne idée à mes débuts, c’est de me faire accompagner par des étudiants : de me proposer comme projet à l’université à côté pour gérer mes réseaux, pour trouver mon logo, pour faire mon site Internet… Ils sont super contents, et moi ça m’a beaucoup aidée.
Et plus généralement, je dirais que c’est d’avoir un état d’esprit d’entrepreneure : oser faire des expériences, on ne perd pas, quoi qu’il arrive, on apprend. On ne repart jamais de zéro.
J’entends souvent les gens dire : depuis le COVID, le coaching s’est saturé, il n’y a plus de place pour devenir coach…
C’est pas tout à fait vrai : il n’y a plus de place pour devenir un coach qui copie l’existant et qui veut rentrer dans des cases, mais il y a de la place pour les coachs qui vont à leur rencontre, qui trouvent leur identité et leur pourquoi, et qui apportent au monde leur contribution unique.
Aurélie a suivi notre promotion coach CAP 2022.
J’étais prof de SVT au collège, j’accompagnais les enfants de la 6è à la 3è, et j’adorais déjà suivre leur transformation.
J’étais également enseignante spécialisée et référente pour les élèves en situation de handicap.
Dans mon métier et dans ma vie personnelle (je suis maman de 3 enfants), j’ai été confrontée au fait que souvent on pense que les difficultés viennent des enfants, alors que les parents ont beaucoup de remise en question à faire… Ça m’a poussée à me remettre en question, moi en tant que maman, mais aussi à vouloir accompagner les adultes qui éduquent les enfants.
Cette remise en question personnelle m’a amené à suivre le programme Expérience. Mieux me connaître, savoir où je vais, identifier mes valeurs, tout cela m’a confortée dans mon souhait de créer mon entreprise dans l’accompagnement. Je me suis notamment aperçue que ma valeur n°1 c’est la liberté, et que j’en manquais cruellement dans ma vie professionnelle.
Bien sûr, j’ai fait un mi-temps pendant deux ans, car ça a été difficile pour moi de passer de la sécurité à la liberté.
Mais c’était très important pour moi de m’écouter, de ne plus me renier, et de me faire confiance.
Et puis on ne peut pas accompagner les femmes à se faire confiance et à s’écouter, et ne pas oser le faire pour soi. Pour moi c’était essentiel de l’incarner.
Ça a été une évidence… Dans ton approche, on se connecte à l’âme de la personne, à l’être, il y a une dimension spirituelle, et c’était totalement aligné avec moi.
Ça n’a pas été simple, j’ai beaucoup hésité entre accompagner les femmes ou les enfants.
J’ai testé beaucoup de choses…
Ça fait quelques mois que j’ai vraiment compris quelle était MA thématique et pourquoi j’hésitais autant entre les deux : aujourd’hui, j’accompagne les femmes à guérir leur enfant intérieur pour renouer avec leur joie et leur boussole. Lorsqu’elles sont mamans, on aborde aussi l’éducation consciente comme une continuité dans leur parcours.
“Je profite tellement d’eux que parfois mes enfants me demandent “mais maman, quand est-ce que tu travailles ?” !”
Je me lève à 8h, je m’occupe de mes enfants et je les emmène à l’école.
Je réalise des accompagnements individuels entre 9h30 et 11h30, et je vais chercher ma fille à l’école pour déjeuner avec elle le midi.
Je travaille ensuite l’après-midi de 14h à 16h30 (en ce moment j’anime des ateliers collectifs pour le CCAS de ma commune). Et je profite pleinement de mes enfants tout le reste de la journée.
Je profite tellement d’eux que parfois mes enfants me demandent “mais maman, quand est-ce que tu travailles ?” !
La semaine où mes enfants vivent avec leur papa, j’organise aussi des ateliers en fin de journée, des apéros spirit’, des week-ends constellations familiales…
Ça a beaucoup changé les choses par rapport à avant, j’étais enseignante, j’avais un salaire fixe.
Aujourd’hui, je dois aller démarcher, sortir de ma zone de confort…
Je me rends compte aussi qu’il y a déjà beaucoup de besoins au niveau local, j’ai commencé par essayer de me développer en ligne, mais finalement revenir à mon environnement plus proche, ça me nourrit aussi beaucoup.
Il y a de l’incertitude, mais je suis portée par ma foi, j’ai une grande confiance en la vie, et je n’ai jamais eu de besoin qui ne soit pas comblé. J’ai toujours eu des rentrées d’argent quand j’en avais besoin.
Jamais je ne reviendrai en arrière.
Si il y a des choses auxquelles j’ai dû renoncer, c’est uniquement du superflu, car j’ai vraiment le sentiment d’être revenue à l’essentiel.
Et je me rends compte que l’abondance est bien au-delà du simple aspect financier : j’ai 3 enfants, dont je m’occupe en garde alternée, et je profite pleinement d’eux. J’organise mon emploi du temps autour d’eux.
Je suis libre.
Delphine a fait partie de notre promotion coach CAP 2022 (6 coachs CAP certifiées).
Qu’attendais-tu d’une formation au coaching de vie ?
Pourquoi avoir choisi la CAP Coaching School en particulier ?
As-tu hésité avant de t’inscrire, et pourquoi ?
Quel est pour toi l’atout principal de la formation Devenir Coach CAP ?
Transformatrice, Amour, puissance
J’attendais de cette formation de mieux me connaître, grandir, orienter ma vie, savoir vers où je souhaitais aller, et surtout d’en faire profiter les autres !
Les interventions de Mylène me parlaient depuis longtemps, je la suis depuis le tout début des défis des filles zen, j’attendais à chaque fois le nouveau défi. Sa bienveillance, sa simplicité, son parcours…
J’ai suivi son évolution, et lu les descriptifs, l’ai écouté, et cette formation me parlait complètement, même après l’avoir comparée aux autres formations, je revenais toujours vers elle. Mettre l’alignement de soi au centre tout en étant concrète.
C’est tout à fait cela que je souhaite faire !
J’ai hésité avant de m’inscrire évidemment : le coût, mais également les quand dira-t-on.. Mais je suis passée outre.
En effet, des épreuves de ma vie m’ont fait comprendre que j’avais également à apporter mon soutien, mon accompagnement à des personnes qui étaient dans ces épreuves, leur redonner confiance, goût en la vie. Et c’est vraiment une mission de cœur pour moi !
L’atout principal de la formation est la pratique, mais également le soutien des autres coachs en formation ou de Mylène.
Je souhaite aujourd’hui être coach de vie en développement personnel, et plus principalement accompagner les femmes et hommes déboussolés par leur Vie, et leurs expériences variées, pour qu’ils puissent retrouver goût à la Vie.
Je souhaite m’adresser plus particulièrement aux aidants familiaux, aux parents d’enfants différents, ou aux parents solo, non pas pour les aider dans leur quotidien avec des trucs et astuces comme le ferait un conseiller, mais seulement qu’ils puissent reprendre confiance en eux, en leur ressources, et retrouver ce qui fait sens pour eux.
Qu’ils se retrouvent cette fois-ci au centre, qu’ils (re)commencent à s’écouter vraiment.
Concrètement, cela passera par des ateliers individuels réguliers par visio (1 fois par mois environ), l’animation d’un groupe sur une messagerie instantanée pour les amener à vibrer davantage entre chaque rendez-vous, une visio collective une fois par mois.
Et une plateforme d’e-learning pour leur permettre de trouver des ressources pour savoir comment puiser en eux, des audio pour des petites piqures de rappel comme quoi ils sont capables !
Simplement de de vivre une vie qui me ressemble, qui me parle !
Si je devais maintenant recommencer à zero dès demain : je ne changerai rien ! je m’écouterai davantage simplement.
Cette formation nous aide à la fois dans notre vie personnelle et notre vie professionnelle. Elle est concrète tout en étant focus sur nous, nos forces, nos valeurs et nos épreuves. J’en suis convaincue, elle m’a fait grandir puissance 1000 !
valeurs, alignement, concrète
• Qu’attendais-tu d’une formation au coaching de vie ?
Avant tout, rester en contact avec les autres et devenir autonome dans mon travail.
• Pourquoi avoir choisi la CAP Coaching School en particulier ?
J’ai vu différentes vidéos sur YouTube de Mylène, et ses mots, ses termes, son sourire sur ses vidéos m’ont mis dans une relation de confiance.
• As-tu hésité avant de t’inscrire, et pourquoi ?
Le budget de la formation m’a ralenti.
• Qu’est-ce qui t’a convaincue de passer à l’action malgré cela ?
L’appel en premier lieu avec Alix pour prendre connaissance de tous les éléments, le fait qu’il y ait une partie finançable en CPF, qu’il y ait un règlement en plusieurs fois, que ce soit en visioconférence (cela évite des déplacements au prix de l’essence !) et que l’on soit accompagnée pendant toute la formation par l’équipe.
• Quel est pour toi l’atout principal de la formation Devenir Coach CAP ?
L’accompagnement, les conseils, les outils de Mylène.
“Dans la vie, tout est possible ! Alors, n’hésite pas… Fonce !”
J’ai à coeur d’accompagner les parents d’enfants TDAH à leur épanouissement et ainsi retrouver de la sérénité dans leurs familles.
écoute, Bienveillance et Entraide
Bienveillance, Exigence, Professionalisme
Qu’attendais-tu d’une formation au coaching de vie ?
Apprendre à accompagner des personnes en difficulté, trouver la bonne posture de coach, acquérir des outils de motivation, d’accueil de soi et de ses zones d’ombre.
Pourquoi avoir choisi la CAP Coaching School en particulier ?
J’ai choisi la formation proposée par Cap Coaching School pour la confiance, l’accueil de nos parts d’ombre, de lumière et de notre singularité. À cette liste, j’ajoute également la liberté d’être soi-même.
As-tu hésité avant de t’inscrire, et pourquoi ?
Je sortais petit à petit d’un burn-out, j’avais peur que mon corps me lâche avant la fin de la formation.
Qu’est-ce qui t’a convaincue de passer à l’action malgré cela ?
J’étais très motivée à suivre cette formation, car elle me permettait d’approfondir le programme CAP Expérience.
De plus, je souhaitais pouvoir accompagner professionnellement des personnes vers une reconnexion à soi. Cette formation est idéale pour cela.
Quel est pour toi l’atout principal de la formation Devenir Coach CAP ?
Parmi tous les atouts de cette formation, le principal est un coaching en profondeur.
Quoi qu’il arrive, quoi qu’on fasse de cette formation une fois terminée, on y a appris à se connaître, se dépasser. On a eu le courage de regarder nos épreuves de vie, notre vulnérabilité. On a eu le privilège de rencontrer et d’accompagner nos merveilleux collègues de formation.
Enfin, elle nous a ouvert des prospectives nouvelles sur notre propre vie.
À présent que j’ai terminé cette formation, j’ai décidé d’accompagner des jeunes adultes, des personnes HP et dans le spectre asperger qui sont en quête de sens dans leur vie professionnelle, personnelle.
Je souhaite les aider à se reconnecter à eux-mêmes, à voir la merveilleuse personne qu’ils sont déjà et à retrouver leur souveraineté.
Confiance, bienveillance, profondeur
• Qu’attendais-tu d’une formation au coaching de vie ?
Apprendre les fondements du coaching, pratiquer et développer le savoir être et le savoir faire nécessaire au bel accompagnement des personnes.
• Pourquoi avoir choisi la CAP Coaching School en particulier ?
Les principes fondateurs du CAP, mêlant la notion d’alignement et de projet concret à un esprit d’éveil spirituel me correspondaient pleinement.
• As-tu hésité avant de t’inscrire, et pourquoi ?
L’élan était une évidence, j’ai hésité d’un point de vie financier et puis j’ai réalisé que je me questionnais moins en achats matériels. C’est un achat essentiel!
• Qu’est-ce qui t’a convaincue de passer à l’action malgré cela ?
Le sentiment de me traiter avec amour, d’aller vers une vie plus alignée et équilibrée et que cela n’avait dans le fond pas de prix.
• Quel est pour toi l’atout principal de la formation Devenir Coach CAP ?
C’est une formation complète dans le fond et très humaine dans sa forme. Les outils pédagogiques sont exceptionnellement bien développés et les échanges de groupe, une réelle mise en pratique.
Vous deviendrez coach pour la contribution au monde mais vous deviendrez surtout votre propre coach. Un amour éternel pour vous même, à vie.
Allez-y !
Mon projet est d’accompagner toutes les femmes désireuses de réaliser la vie dont elles rêvent.
Maman de 3 enfants, expatriée aux USA depuis 4 ans et ancienne professionnelle de santé.
Je réalise des accompagnements plus orientés tels que : L’expatriation La parentalité La volonté d’un mieux être psycho corporel global pour enfants et adultes.
Je propose un accompagnement basé sur le développement d’une quiétude psycho corporelle.
Efficacité, Bienveillance,
Élévation de Soi
Le cadre institutionnel n’étant plus en adéquation avec ma vision de l’accompagnement, c’est naturellement que je me suis orientée vers le coaching de vie pour accompagner différemment. Mes années de recherche en développement personnel et mon ouverture à la spiritualité m’ont amené à privilégier le coaching en développement personnel et plus particulièrement le coaching d’éveil.
Les valeurs et l’approche de la CAP coaching School qui résonnent particulièrement avec les miennes m’ont permis de faire ce choix de formation. J’ai hésité avant de me lancer en raison du coût de la formation.
J’ai dépassé ces hésitations car d’une part, la partie auto-coaching a pu être financée par mon CPF et d’autre part, et surtout, j’étais pleinement convaincue de l’importance de cette démarche.
L’un des atouts principaux de la formation de coach CAP est la partie d’auto-coaching qui est en soi une expérience véritablement transformatrice qui m’a permis un regard différent et de faire levier sur des problématiques anciennes.
La formation de coach en petit groupe, les pratiques collectives, la présence et la facilité de contact avec Mylène et Alix offrent une grande qualité d’enseignement. Exigence, confiance, bienveillance… décrivent, entre-autre cette lumineuse formation qui est une magnifique étape sur mon chemin de reconnexion à moi-même.
Tout au long de la formation, j’ai découvert et je découvre encore de nouveaux éclairages, de nouvelles prises de conscience…qui me font grandir. La prochaine étape s’inscris dans le concret.
En effet, dans le cadre de ma micro-entreprise So Lazuli, j’offre dès septembre 2023 mon accompagnement à toutes les personnes qui se sentent déconnectées d’elles-mêmes.
Il n’est jamais trop tard pour s’autoriser à être qui on est. J’encourage les personnes hésitantes à se lancer dans une formation au coaching à se faire confiance et oser entrer dans la ronde de l’éveil des consciences en accompagnant les personnes vers leur propre lumière.
Je suis fière de faire partie de cette communauté de « femmes et hommes » guides et je remercie Mylène, Alix et toutes mes lumineuses compagnes de route de m’avoir accompagné sur cette étape lumineuse et essentielle de mon cheminement. Je leur envoie toute ma gratitude.
Aujourd’hui je construis une de mes approches autour du regard à soi. Faciliter l’ouverture de notre regard sur soi, tel un photographe, pour sublimer la femme telle qu’elle est (et que l’on ne voit pas).
Réapprendre à regarder son corps, comme toucher un modelage de soi, ressentir cette sensation du toucher, pour se réapproprier son corps, comprendre qu’il est un magnifique véhicule.
Il faut écouter son cœur, l’approche est d’une telle sincérité… l’exigence et la qualité des contenus.
Richesse, Dépassement, Travail
Et puis j’ai dit NON, STOP à toutes mes croyances limitantes.
La personne coachée a une place unique lors des séances de coaching, elle est écoutée, trouve en elle son pouvoir créateur !
